Banque Nationale Agricole (BNA)

Un parcours de plus d’un demi-siècle, des défis, des enjeux et des réussites… Depuis sa création en 1959, la BNA figure en avant-garde sur la scène économique et financière, et n’a cessé de se confirmer sur la place financière non seulement comme une banque de financement de l’agriculture, mais aussi comme une banque universelle, citoyenne, moderne et davantage proche des Tunisiens. Au cours de son demi-siècle d’existence, la BNA a su s’adapter aux différentes mutations et restructurations qu’a connues l’économie tunisienne et aux exigences de la modernisation et de la libéralisation du secteur bancaire ; ce qui a facilité son adhésion aux différents programmes et plans adoptés dans ce sens par les instances financières et économiques. Ce parcours, fort remarquable, n’a fait que consolider les fondamentaux de croissance équilibrée tout en garantissant à la BNA la notoriété et la compétitivité et, par conséquent, assurer un positionnement stratégique la rapprochant des normes internationales. Riche de son expérience et de sa modernité, la BNA demeure un acteur incontournable de la réussite personnelle et professionnelle, particulière et nationale. 1959, LA CRÉATION DE LA BANQUE NATIONALE AGRICOLE Un geste politique fort et un acte économique majeur Il y a plus de 55 ans, la Banque Nationale Agricole voyait le jour dans l’euphorie de l’indépendance nationale et de la proclamation de la République qui a suivi aussitôt après. Signe prémonitoire et sans doute chargé de signification, la Banque a l’âge de la Constitution, ratifiée la même année en 1959. Comme si l’on voulait que la banque, à sa naissance, soit pour l’économie ce que la Constitution fut pour la République. Trois années plus tôt, en 1956, le pays accédait à l’indépendance politique. Il hérita d’une économie exsangue, privée d’infrastructures, de tissu productif d’acteurs économiques et plus encore, de sources et de mécanismes de financement. L’argent, nerf de l’économie, faisait défaut ; au mieux il était sous le contrôle d’institutions financières réduites à leur plus simple expression et liées à l’ancienne puissance coloniale. Il n’y avait rien ou presque qui puisse canaliser l’épargne nationale au profit du financement de l’économie. Pourtant, seule une économie en développement, en croissance rapide pouvait donner corps et âme au projet politique d’émancipation et de redressement national, cher aux dirigeants nationaux. La BNA est née de cette ambition : elle était le bras et le levier de financement de l’Etat pour construire une économie en devenir. Avec la création de la BNA, le jeune Etat tunisien s’est donné l’instrument de ses attributs de souveraineté et d’indépendance nationale. Plus qu’une source décisive de financement, la BNA était le symbole d’une farouche volonté d’indépendance et donc un choix des plus pertinents qui tranchait avec l’idéologie ambiante de l’époque et qui faisait la part belle à l’industrie et au commerce aux dépends de l’agriculture. L’industrie était synonyme de progrès et de modernité alors que l’agriculture suscitait peu d’enthousiasme et s’attirait peu de moyens. On sait ce qu’il advint de cette théorie erronée qui occulte et élude le rôle et le poids du secteur agricole ainsi que sa contribution à l’essor de l’économie et plus encore ses effets sur la cohésion et la solidité du tissu économique et social. La création de la BNA fut un geste politique fort et un acte économique majeur. Le financement de l’agriculture - dont elle développa très tôt les outils et les mécanismes appropriés - ne couvrait pas la totalité des activités de la banque tant s’en faut. La BNA avait déjà vocation universelle : l’industrie, les services et le commerce faisaient partie de son vaste champ de compétence. La BNA s’est positionnée dès le départ comme l’élément central du dispositif de développement économique équilibré et harmonieux du pays. La BNA est, certes, l’expression de la volonté de modernisation du pays, elle est aussi de par sa vocation plurielle et son inclination agricole prononcée, le signe annonciateur de ce qui s’est imposé depuis comme l’exception tunisienne. Derrière ces trois mots inscrits en lettres d’or dans le registre de l’histoire économique contemporaine de la Tunisie, la BNA était l’affirmation d’une forte volonté de développement et d’indépendance. Elle était aussi la démonstration d’une vision aussi profonde que lointaine. Elle évoquait à elle seule la mise en perspective de l’avenir du pays. La BNA était l’incarnation d’un grand dessein national en ces temps héroïques. Il fallait un immense talent et tout le patriotisme qu’on connaît aux pionniers de la banque pour forcer le destin, bâtir une véritable institution au service du développement et la porter très tôt aux avant-postes de notre économie en construction. La banque exerça un effet de levier extraordinaire au départ et à l’arrivée de la quasi-totalité des projets qui ont jalonné le parcours de l’économie tunisienne. Il est peu de projets industriels qui n’aient bénéficié du concours de la BNA au titre de conseil et de financement alors que celle-ci assure un rôle capital dans la promotion du secteur agricole. La banque, et c’est son trait de caractère, promet autant qu’elle promeut. Elle a vocation à développer notre épargne nationale, à financer le développement de notre jeune Nation. Itinéraire

(+216) 71831000 (+216) 0 bna@bna.com.tn Rue Hedi Nouira 1001 Tunis - Tunisie www.bna.com.tn

1 Mécanismes de financement
100 TND Fond Minimum
200 TND Fond Maximum

Crédit

Consulter
de 100 à 200 TND
Par projet
NULL

Adresse

Restez connecté avec notre communauté sociale